BBC

Le site de BBC Persian récemment un morceau intitulé “La majorité des iraniens, pas la race aryenne” Dr Maziar ashrafian Bonab cite, chercheur génétique, sous la forme d’une interview publiée et l’apporta à ce درتوضیح:
« Un groupe de chercheurs en génétique, University of British portsmot, sous la supervision d’un chercheur à des résultats intéressants sur la race iranienne ont atteint. Le groupe croit que la plupart des Iraniens n’ont pas de race aryenne, mais appartiennent plutôt à une race qui vivait en Iran il y a environ dix mille ans.. Cette recherche génétique qui fait partie de la recherche mondiale sous la supervision du Dr Maziar ashrafian Bonab ans à l’Université de Cambridge et a commencé à l’Université de portsmot, le résultat est atteint.

Ce que le titre et le contenu de la news et la BBC ramassé est qui « il y a une course appelée la race aryenne et le peuple d’Iran est souvent à l’encontre de la croyance commune qui n’a jamais été, ce n’est pas une course et d’autres races qui sont environ dix mille ans en Iran. A vécu. »

Les principes les plus élémentaires du journalisme exigent que si nous citons quelque chose de quelqu’un, nous allons être exactement ce qui est dit, plutôt que de refléter notre perception personnelle et nos conclusions de ce que les autres disent sous forme d’informations ou de reportages..
M. Bonab a dit dans cette interview:

Selon les différences linguistiques, parfois, en raison de différences culturelles, certaines différences religieuses, vingt-six groupes différents ont été étudiés et des études génétiques montrent que nous sommes la langue la plus importante en tant que branche de la langue anglaise d'Europin ou le vote iranien d'Europin. Nous avons fait partie du plateau central de l'Asie centrale; Notre contenu génétique est très limité à celui de la région, des marqueurs, et certains indices génétiques, que nous pouvons trouver en Asie centrale, qui est basé sur les théories existantes de l'origine primaire des tribus aryennes, dans le plateau de l'Iran est très très faible et ils montrent Ce très peu d'impact génétique si nous étions emmenés au milieu des tribus migrantes d'Asie centrale et des conservateurs en Iran. .

Le Dr Bonab en dit plus:

Nous avons conclu que toutes les ethnies iraniennes partagent une racine commune et que la majorité de leur contenu génétique, soit plus de 70 % du contenu génétique de tous les groupes iraniens qui résident actuellement à l’intérieur des frontières politiques de l’Iran, remonte à une racine commune d’environ dix mille ans après la révolution néolytique ou l’émergence de l’agriculture il y a environ dix mille ans dans la région sud-ouest du pays et en Iran. Cependant, cette population initiale s’est étendue, a grandi et s’est installée sur l’ensemble du plateau iranien, puis peut-être en dehors des frontières politiques actuelles de l’Iran, et cette population est la racine génétique de tous les groupes ethniques vivant sur le plateau iranien.

rapport La BBC peut être complètement écoutée à travers le lien ci-dessous:

Rapport de fichier audio BBC

Avant de vouloir aborder les raisons pour lesquelles les Iraniens sont aryens ou non, je voudrais attirer l’attention des lecteurs sur le fait que les anciennes divisions basées sur la forme des os et l’apparence, qui divisaient les humains en différentes races, sont maintenant obsolètes et ne s’appliquent pas à la recherche scientifique, par exemple pour این مقاله regarder:

« Race’ et recherche

La variation génétique humaine moderne ne se structure pas en sous-espèces phylogénétiques (« Races » géographiques), Les taxons des classifications raciales les plus courantes de l’anthropologie classique ne sont pas non plus considérés comme des « races ».’ (Boîte 1). Les groupes sociaux ou ethnoancestraux des États-Unis et de l’Amérique latine ne sont pas des « races », et il n’a pas été démontré qu’une population reproductrice humaine est suffisamment divergente pour être reconnue taxonomiquement par les normes de la systématique moléculaire moderne. Ces observations ne doivent pas être considérées comme des déclarations contre la recherche sur des groupes ou des populations démographiques. Ils ne soutiennent qu’un mémoire pour la précision linguistique et des descriptions minutieuses des groupes étudiés. Les termes et les étiquettes ont des implications qualitatives.

En fait, la période évolutive d’une espèce d’homme, connue sous le nom d’homme moderne ou d’homme moderne, n’a pas encore été assez longue pour être dérivée de diverses races, et donc le mot ou le concept de « race » n’est généralement pas utilisé dans la recherche scientifique moderne pour les groupes humains, et encore moins pour l’examiner dans différents groupes..

L’année dernière, nous avons pris un graphique sur ce site concernant Le degré de parenté ou d’attachement de l’ascendance iranienne avec d’autres ethnies et nations J’ai publié cette recherche sous la supervision de l’un des généticiens contemporains les plus éminents de l’Université de Stanford, où il n’était pas question de différences raciales, et un critère appelé parenté a été utilisé pour illustrer les différences génétiques entre différents groupes.. Et c’est pourquoi le Dr Bonab, dans son interview, se méfiait des « racines du peuple iranien ». ( Et pas la race iranienne.) Donc, contrairement à la BBC, il n’y a pas de race aryenne ou de race iranienne dont nous sommes issus ou non, mais il y a un groupe ethnique avec le nom du peuple aryen avec des caractéristiques historiques, culturelles, linguistiques et génétiques, et dans la suite de cet article, j’essaie de montrer que les Iraniens sont à la fois culturels et linguistiques et ethniques sont les survivants de ce groupe.

Mais revenons aux remarques du Dr Bonab dans une interview à la BBC : « Des études génétiques montrent que, bien que notre langue soit une branche importante de l’Indo Europin ou de la branche iranienne de l’Indu Europin, nous obtenons des parties du plateau central de l’Asie centrale, notre contenu génétique remonte à cette région en quantité très, très limitée ; certains marqueurs et marqueurs génétiques que nous pouvons trouver en Asie centrale sont la Transcaucasie, sur la base des théories existantes de l’origine. Premières tribus aryennes, on en trouve très peu sur le plateau iranien et cela montre que si nous obtenons très peu d’influence génétique, elle provient des parents migrateurs d’Asie centrale et peut être trouvée en Iran..

Le fait que nous, les Iraniens, tirions notre langue de quelle région géographique fait l’objet de recherches linguistiques et non génétiques, la seule chose que le Dr Bonab peut affirmer sur la base de ses recherches est que notre contenu génétique ne provient pas de la région de l’Asie centrale, et cela ne conduit pas nécessairement à la conclusion que les Iraniens ne sont pas aryens.. En fait, l’hypothèse selon laquelle les aryens sont venus en Iran via le Transcaucase n’est qu’une des hypothèses disponibles..

Il y a quelques mois, j’ai lu un article de deux scientifiques russes sur l’étude des caractéristiques génétiques des hésitants de langue aryenne, qui a été publié l’année dernière sur la base d’informations génétiques de différents groupes, y compris les Iraniens.. Mentionner des parties de cet article pourrait éventuellement aider à clarifier la question. Cet article est en Journal de génétique Publié en Russie et sauvegarde peut également être trouvé dans C’est la base. Lire.

Brièvement argumenté dans cet article qu’il existe actuellement deux hypothèses sur la migration aryenne.. Tout d’abord, les locuteurs des langues aryennes ont été dispersés à travers les steppes russes au troisième millénaire avant JC, et les Aryens sont passés du sud d’Aral à l’Asie centrale au début du premier millénaire avant JC.. La deuxième hypothèse, appelée hypothèse Balkh – Marv est célèbre pour avoir dit que les Aryens étaient à Merv au troisième millénaire avant JC et en Asie centrale du Sud au début du deuxième millénaire avant JC et en Afghanistan..

Les auteurs de l’article rejettent ensuite ces deux hypothèses en évoquant certaines. Dans la première hypothèse, on dit que l’hoplogroupe (Groupe de gènes) R1a1 en Inde et en Iran est passé des plaines russes à ces régions et la base de cette opinion est l’existence d’une grande quantité de ce groupe de gènes dans le peuple ukrainien, qui est à peu près 4050 Année avec maximum et minimum 500 L’année est un différend. Et dans le cas des Slaves, ce contexte concerne 4750 Année avec 500 L’année est inférieure ou supérieure. Cette question n’est pas lue avec l’histoire de R1a1 chez les peuples d’Asie du Sud, par exemple dans le cas des Indiens, ce hoplogrop est beaucoup plus que les Ukrainiens et les Slaves et a environ douze mille ans et ne peut donc pas provenir des plaines russes.. این فرضیه همینطور برای گروههایی مانند نورستانیها هم که از بازماندگان آریاییها در مرزهای افغانستان و پاکستان هستند توضیحی ندارد.

La deuxième hypothèse, également appelée migration de Marv par les Aryens, ne pouvait pas expliquer des choses comme l'influence de la structure linguistique du sami sur la langue des Aryens, et enfin basée sur tous ces auteurs fournissent un article de carte de migration des Aryens.:

Carte de migration آریاییان

Carte de migration آریاییان

Sur la base de cette carte, les premiers Aryens, la première fois de ne pas migrer de la steppe d'Asie russe et centrale, mais de l'ouest de l'Iran. Et bien sûr, un groupe d'entre eux est retourné à l'ancienne terre après la migration.

C'est pas le fait de l'es.:

La combinaison de la patrie de données linguistiques et archéologiques de la vieille langue aryenne pourrait être situé sur le territoire du nord-ouest de l'Iran dans la région de la culture Hissar B dans le IIIe millénaire avant JC où les anciens Aryens ont migré vers l'est, sud de l'Asie centrale, dans la région de la civilisation Margiana et au-delà de la région du Pamir et de l'Hindu Kush.
2) Très probablement, Les anciens Aryens ont plusieurs haplogroupes et leur patrimoine génétique peut se composer de sous-clades de J2 (et, peut-être, G2a G2a). Ces haplogroupes sont également représentés parmi les Brahmins et l'âge de ces populations est 12 millénaires. Dans le patrimoine génétique des locuteurs originaux des dialectes « européens anciens » présents haplogroupe R1b1b2. 3) Lors de la migration des locuteurs des dialectes « européens anciens » à travers le Moyen-Orient et l’Asie centrale, et plus loin à travers la Volga et la région nord de la mer Noire vers l’Europe, dans leur patrimoine génétique était impliqué l’haplogroupe R1a1. Plus tard, l’haplogroupe R1a1 est devenu dominant parmi les Slaves orientaux, R1b1b2 – parmi les peuples d’Europe centrale et occidentale 4) Dans la période de séjour des anciens Aryens sur le territoire de Margiana au IIe millénaire avant JC dans leur pool génétique pourrait être inclus l’haplogroupe R1a1, plus tard, cela est devenu dominant parmi les brahmanes

Traduction :

L’ensemble des données linguistiques et archéologiques montre que la patrie primitive des Aryens au troisième millénaire avant JC se trouvait probablement dans le nord-ouest de l’Iran, de là vers l’est, vers le sud et l’Asie centrale, vers la région de Marv et au-delà jusqu’à la région du Pamir et de l’Hindu Kush..

Très probablement des Haplogrops aryens(Groupes de gènes) Ils avaient plusieurs gènes dans leurs réservoirs, dont J2 et peut-être G2a. Ces haplogroupes existent également chez les brahmanes et existent depuis plus de douze mille ans..

Dans le référentiel génétique des principaux locuteurs des langues européennes anciennes, il y a l’haplogrop R1b1b2. Au moment de la migration des locuteurs d’anciens dialectes européens au Moyen-Orient et en Asie centrale et au-delà à travers la Volga et le nord de la mer Noire vers l’Europe, l’haplogrop R1a1 a été ajouté à leur référentiel de gènes.. Plus tard, R1a1 a prévalu parmi les Slaves orientaux et R1b1b2 parmi les peuples d’Europe centrale et occidentale..

Pendant la période où les anciens Aryens se sont installés dans le pays de Merv au 2ème millénaire avant JC. R1a1 a été ajouté à leur dépôt de gènes, et plus tard cet hoplogroupe a prévalu parmi les brahmanes..

Quant au concept du titre aryen, selon Diaconov, « La seule utilisation autorisée du terme aryen concerne les tribus qui s’appelaient Arya dans leur ancien Uzmana.. Indiens et Perses (Parsien) Et les Mèdes, les sketchs, les alains et les ethnies de langue iranienne de l’Asie centrale s’appelaient eux-mêmes Aria.
(OBO. M. Diaconov.: « Mad History », traduit par Karim Keshawars, Scientific and Cultural Publications, 2001, p. 142, Rows 5 Jusqu’à neuf, et notes. 12 Jusqu'à 17 PS 82-481).

Selon ce qui a été dit, l’affirmation de la BBC selon laquelle la plupart des Iraniens ne sont pas aryens contraste fortement avec les sources historiques.. Parce que ni le site Web de la BBC ni le Dr Bonab n’ont essentiellement révélé quel groupe serait considéré comme aryen qui serait en désaccord avec les Iraniens.. Ils ont simplement expliqué que les Iraniens ont une différence génétique avec les peuples d’Asie centrale, alors que nous savons déjà que l’hypothèse de la migration aryenne de l’Asie centrale vers l’Iran n’est qu’une des hypothèses qui ont été faites jusqu’à présent, selon le professeur Mackenzie. سایت ایرانیکا موجود است، عنوان آریایی برای مردم ایران بدون هیچگونه تردیدی مفهوم اتنیکی/قومی/تباری دارد و صرفا منظور از اطلاق آن، گروه زبانی نیست.

Nous savons aussi, grâce à cette même inscription, qu’Ahura Mazdā était considéré comme le « dieu des Iraniens » dans les passages de la version élamite correspondant à DB IV 60 et 62 dans la version persane ancienne, dont la langue était appelée « iranienne » ou Ariya (DB IV, 88-89). En revanche, l’Avesta utilise clairement Airya en tant que nom ethnique (Vd. 1; Yt. 13.143-44, etc.), où il apparaît dans des expressions telles que airyāfi; daiŋˊhāvō « Les terres iraniennes, Peuples,« airyō.šayanəm« terre habitée par des Iraniens,« et airyanəm vaējō vaŋhuyāfi; Dāityayāfi; « Tronçon iranien du bon Dāityā,« la rivière Oxus, l’Āmū Daryā moderne (q.v.; voir ĒRĀN-WĒZ). Il ne peut y avoir aucun doute sur la valeur ethnique de l’ancien Iran. Arya(Benveniste, 1969, Je, PP. 369 f.; Szemerényi; Kellens).

همینطور به این سند Jetez un coup d’œil au professeur Jay Nelly qui dit que le concept du mot aryen/arya a de nombreuses significations chez les Indiens, mais chez les Iraniens, le seul concept est le concept ethnique..

Emile Benveniste a donc tout à fait raison d’affirmer que, contrairement aux différents termes liés à l’arya aryen- en vieil indien, l’ancien arya iranien- est documenté uniquement comme un nom ethnique

Dariush Kiani, un éminent chercheur iranien, a déjà rassemblé des documents historiques sur le concept aryen dans un article sur le site Azargoshansp. Dans cette adresse, N’est accessible.